Enjeux 2025

Du Pont de la Rivière aux cerises jusqu’à la sortie 115 correspondant à la zone M125 [zoomez la carte]

• Ramener à 12 mètres de hauteur [3 étages au lieu de 5]

• Préserver les vues du Mont Orford comme patrimoine visuel 

• Conserver le visage champêtre comme carte de visite du secteur

Je comprends les demandes actuelles du Marché Public de vouloir enfin statuer pour mieux s’installer, mais la Plage des Cantons n'est pas le bon endroit.

• La Plage des cantons est depuis le début considéré comme un lieu temporaire

• Les conclusions des consultations citoyennes étaient claires quant à la volonté de non-construction, ce qui est opposable à la demande actuelle de certains exposants

• Le fruit de cette réflexion collective se retrouve dans le Plan directeur des parcs et espaces verts de la Ville. Cet espace y est défini comme un lieu de détente et de contemplation, destiné avant tout aux citoyens, tout en favorisant les activités de plein air libres. C’est pourquoi je le désigne comme un Parc Plage Nature

• Plan directeur des parcs et espace verts de la ville ne préconise pas non plus ce genre d’activité contrairement à la Pointe Cabana qui est destiné aux visiteurs

• Il serait pertinent de considérer les citoyens vivant dans les zones résidentielles déjà densifiées à proximité, et plutôt se concentrer du côté de la rue Cabana qui l'est moins à l'endroit de l'ancien site de planches à roulettes. Une telle approche rendrait l’accès plus facile et les retombées plus profitables pour les commerçants locaux

• Comme pour le dossier du Boisé Desjardins, le terrain est grevé de servitudes. C’était d’ailleurs l’un des arguments avancés par les citoyens pour dissuader Divertigo de s’y installer en 2016

• Depuis la parution de l’article à ce sujet dans Le Reflet du Lac, plusieurs citoyens et représentants d’associations ou syndic de condominium du secteur m’ont contactée. Certains expriment encore le souhait de préserver la quiétude du quartier, tandis que d’autres estiment que la situation actuelle, bien que temporaire, ne contrevient pas aux règles établies tant qu’il n’y a pas de construction permanente

Les nouveaux élus municipaux auront des décisions importantes à prendre. Ce projet a déjà connu plusieurs versions depuis 2021, et je partage entièrement l’avis selon lequel il est grand temps de trancher. 

Le secteur Cabana apparaît d’ailleurs, plus que jamais, comme l’endroit idéal, avant qu’il ne soit convoité par d’autres instances, compte tenu de sa grande valeur.

  Le défi du logement abordable est bien réel, et il appelle des solutions concrètes et réalistes.

Je me positionne comme une facilitatrice pour encourager la mise en place de projets qui répondent aux besoins de la population, tout en respectant la vision d’un développement harmonieux.

Certaines mesures incitatives peuvent être mises de l’avant, comme l’octroi de crédits de taxes ou encore la possibilité de recevoir des dons de terrains. Mais pour que ces initiatives se traduisent par des projets viables, elles doivent absolument s’inscrire dans une planification rigoureuse et coordonnée.

Je suis favorable à la concrétisation de projets de logement abordable qui permettront à des familles, des jeunes et des aînés de continuer à vivre et s’épanouir à Magog, sans devoir quitter leur communauté.

  Il ne faut pas oublier qu’au final c’est le citoyen qui reçoit la facture.

Si on pense à l’augmentation constante de la masse salariale qui constitue une portion importante du budget de la ville, cela demande une gestion des ressources humaines et financières responsable et transparente.

Prenons le cas de l’aréna mes questions « Combien cela coûtera-t-il aux citoyens?  Quels seront les impacts sur le budget global de la ville? Pendant combien d’années les contraintes budgétaires limiteront-elles la réalisation d’autres projets? Est-ce que l’on a les moyens de nos ambitions? »